lundi 15 juillet 2019

Pour 50 cm de plus

Dans nos articles du début de l’année, nous avons évoqué à plusieurs reprises la construction du bâtiment d’accueil de la patinoire. Les délibérations votées successivement montraient que ce dossier avait été géré avec peu de rigueur. Mais les éléments qui apparaissent aujourd’hui nous démontrent que nous étions bien loin du compte.



Comme bien souvent, un petit retour en arrière est nécessaire pour bien comprendre. Lors du conseil municipal du 18 décembre, nous avions été choqués par la façon dont l’équipe municipale avait lancé les travaux de ce bâtiment. En effet, ce jour-là, nous étions appelés à délibérer pour autoriser le maire à déposer le permis de construire du chalet d’accueil. Or, ce vote avait été largement anticipé : le permis avait été déposé le 9 septembre, accordé le 26 novembre et au moment de cette délibération, le bâtiment était quasiment terminé. Une façon bien particulière de procéder. Mais nous étions loin d’avoir tout vu.

Deux mois plus, lors du conseil municipal du 9 mars, parmi les délibérations du jour, nous avions été très surpris de voir apparaître une demande de subvention pour les travaux autour de la patinoire. La surprise venait du fait qu’en décembre nous avions déjà voté une demande de subvention pour ce même projet. Mais entre-temps, l’estimation du coût des travaux était passé de 150 000 à 254 000 euros. Nous avions interrogé les élus de la majorité sur l’origine de cette différence de 104 000 euros. « Le coût est un petit peu plus important » avait expliqué l’adjoint aux Finances. Le directeur des Services techniques avait ajouté « Nous avons eu une estimation plus précise ». Ses réponses nous avaient semblé peu convaincantes, mais faute de mieux, nous avions fait avec …

Quelques mois plus tard, il semble que nous ayons enfin trouvé l’explication à cette hausse spectaculaire du prix de la construction de ce bâtiment. Si l'on se réfère au Plan de Prévention des Risques Naturels, il apparaît que la patinoire est située dans une zone à risques. A cet endroit, les services de l’Etat ont identifié divers dangers pour les personnes et les biens : risques d’inondation à cause de la proximité du Bonnant et du torrent d’Armancette et risques d’avalanche (l’avalanche de la Combaz est descendue jusqu’à cet endroit dans le passé). A cause de ces risques, la construction de bâtiments dans cette zone est soumise à un règlement très strict.




Le terrain sur lequel a été construit le chalet d’accueil de la patinoire doit suivre les préconisations des règlements J et B, cette parcelle se trouvant dans la zone 590JB. A cet endroit, il est autorisé de construire mais en respectant quelques contraintes. Ainsi, un mur en dur doit être réalisé côté sud afin de préserver les usagers d’une éventuelle lave torrentielle. Côté ouest aucune ouverture n’est admise, puisque l’avalanche de la Combaz peut descendre à cet endroit. Il est également spécifié que « aucune pièce destinée à une occupation (pièce d’habitation, bureau, atelier, commerce, …) ne sera réalisée au-dessous de la cote TN+1. ». En d’autres mots, cela veut dire que tout bâtiment devra être surélevé d’1 m au-dessus du niveau du sol. Or, un « léger problème » apparaît : le bâtiment construit cet automne a été surélevé mais à peine de 50 cm. Il manque 50 cm, ces 50 cm qui changent tout. 




La Direction Départementale des Territoires de Haute-Savoie a dû se saisir du dossier après avoir constaté que la mairie des Contamines avait construit un bâtiment recevant du public sans suivre la réglementation en vigueur, cette réglementation du PPRN pourtant instruite par les services de la mairie sous la responsabilité du maire actuel ! Tout de même !!! Conséquence de cette réaction de la DDT : des travaux d’envergure ont été relancés récemment sur le chalet pour être mis en conformité avec la loi. Finalement le premier magistrat n’a pas pu négocier avec les services de l’Etat : la roue tourne…

Comment passer d’une surélévation de 50 cm à une surélévation d’1 mètre pour un bâtiment terminé ? Pour le savoir il suffit d’aller faire un tour vers la patinoire. Pour obtenir les 50 cm manquants, il a fallu soulever le chalet pour permettre de rehausser les murs de soubassement, entreprendre toutes les opérations nécessaires… Maintenant Il faut revoir tous les branchements électriques, les arrivées et évacuations d’eau, … Cette opération doit être complexe et demander l’emploi de techniques particulières. Et tout cela doit avoir un coût important non prévu au départ : 104 000 euros peut-être. ?


Avant


Après


Sous le chalet d'accueil


Il semble donc que les services de la DDT soient venus rappeler à Etienne Jacquet que la réglementation sur la construction doit être suivie aussi bien par les particuliers que par les communes. Et n’ayant pas d’autres solutions que d’obéir, le premier magistrat a dû se résoudre à entreprendre ces travaux non prévus. On a bien vu que tout a été fait pour que cela soit le plus discret possible. En pleine construction du pumptrack, qui va s’intéresser à ce qui se passe autour du chalet d’accueil ? Et pour tenter de noyer le poisson, la poursuite de la construction des bâtiments à côté de la patinoire (garage, salle des associations, …) a été annoncée. Mais tout le monde n’est pas tombé dans le panneau !!!

Une question se pose maintenant ? Quelle est la raison de ce non-respect de la réglementation ? Cela est-il dû à une erreur grossière ou la conséquence d’une décision prise sciemment ?

Le PPRN a été revu récemment et suivi par l’équipe municipale. A plusieurs reprises, le maire s’est vanté d’avoir pu négocier avec les services de l’Etat pour faire évoluer tel ou tel règlement, modifier telle ou telle zone. On peut penser qu’avant de lancer le projet d’aménagement du secteur de la patinoire, toutes les règles qui s’imposent sur ces parcelles ont été lues et relues. Par ailleurs, Il semble difficile de passer à côté de la contrainte du mètre de surélévation obligatoire. Un mètre au dessus du sol, ce n’est pas rien !!! Certes, la zone voisine est soumise au règlement I qui impose que le bâtiment soit 50 cm au-dessus du niveau du sol. Mais cela concerne la parcelle voisine… Professionnel du bâtiment, Etienne Jacquet doit savoir lire un plan et un règlement d’urbanisme. Et il ne faut pas oublier qu’une des adjointes, membre de la commission d’urbanisme, est architecte. De plus, le permis de construire a été validé par une autre architecte… A-t-elle seulement regardé les zonages ? Comment entre les regards acérés du maire, de l’adjointe, du DST, de la DGS, de l’architecte cette « erreur » a pu avoir lieu ? Qui est responsable de l’argent encore une fois gaspillé par un flagrant manque de sérieux ? de professionnalisme ? Ou un manque intérêt tout simplement ?








De plus, depuis 2014, le maire nous a tellement expliqué que les équipes municipales précédentes étaient si incompétentes, n’avaient pas mis en place les réglementations nécessaires. Selon lui, il est le seul à savoir gérer correctement une commune, sachant tout ce qu’il faut faire et ne pas faire, connaissant tout sur tout, mieux que tout le monde. Dans ces conditions, on ne peut pas croire qu’il puisse avoir commis une erreur de débutant, confondre un I avec un J !!! 





Mais alors, pourquoi manque-t-il 50 cm sous le chalet d’accueil ? Si ce n’est pas une preuve flagrante d’incompétence, qu’est-ce que cela peut être ? Nous vous laissons vous faire votre opinion. Mais en tous cas, la facture va devoir être payée par les contribuables pour tout remettre dans les normes. Nous ne savons pas si cela correspond totalement à la hausse de 104 000 euros apparue entre décembre et mars, mais le coût doit être important. Voilà une belle utilisation de l’argent public. Et sans aucune vergogne, l’équipe municipale, face à cette dépense supplémentaire, n’a pas hésité à solliciter une subvention supplémentaire à la Région et au Département. Pourquoi se gêner ? Depuis quand les subventions sont-elles là pour réparer les erreurs ? On n’oublie pas non plus que les subventions restent tout de même l’argent de chacun d’entre nous : ce sont nos impôts qui font les subventions.

Enfin, cette surélévation va avoir des conséquences indirectes. Par exemple, une rampe d’accès pour les handicapés est prévue sur le côté du chalet. Mais une rampe pour monter 1 mètre, c’est différent de 50 cm. Il faut respecter une certaine pente. Il va falloir tout repenser. Et on peut aussi imaginer que le rangement de la surfaceuse dans le garage sera beaucoup plus compliqué.





Ces 50 cm, vraiment, changent tout… C’est largement plus contraignant, mais c’est la règle. Peut être que cette zone ne sera jamais inondée, peut-être qu'aucune avalanche n’arrivera plus à la patinoire. Mais le PPRN a été validé et doit être appliqué sur toutes les parcelles des Contamines, par tous les particuliers et en tout premier par la Commune. Dans ce dossier, celle-ci a tout fait de travers : un permis déposé 3 mois avant le vote de la délibération qui l’autorise, un non-respect de la réglementation. Bravo, vraiment Bravo !!! En décembre le maire avait répondu qu’il n’avait pas de leçon à recevoir sur la dépose de permis. Il vient de démontrer le contraire.

A noter : conseil municipal ce jeudi 18 juillet à 20h



Rendez-vous le 1er août pour de nouvelles infos.

Lydie Roch-Dupland et David Mermoud


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lundi 1 juillet 2019

La valse des directeurs

Un nouveau conseil municipal s’est déroulé le 20 juin. Depuis le mois de mars, une séance est organisée chaque mois. Nous qui nous plaignions de la raréfaction des conseils municipaux, nous voilà servis. Mais vu l’inconstance du maire de la commune il est impossible de prédire si la prochaine réunion aura lieu en juillet ou en septembre.

Si cette réunion n’a pas été marquée par des délibérations d’un grand intérêt, elle nous a permis d’avoir la confirmation d’une nouvelle qui parcourait le village depuis quelques jours. À la suite de notre question, le maire a confirmé le départ du directeur de l’Office de tourisme. Julien Mure était arrivé en janvier, et 6 mois plus tard, il quitte déjà son poste. Faut-il réellement s’en étonner ? Son prédécesseur n’était resté lui aussi que 6 mois. La surprise aurait presque été que Julien Mure puisse enchaîner 2 saisons touristiques.




Le maire, bien sûr, n’a donné aucune explication à ce départ précipité. Expert de la langue de bois, il a su utiliser les formules toutes faites qui sont citées en de telles circonstances « Nous regrettons vivement son départ », « Il nous quitte pour des raisons personnelles » ?... Bien sûr, nous ne connaîtrons jamais les vraies causes de ce départ. Nous n’avons pas eu le temps de juger les qualités professionnelles de Julien Mure. Originaire de Saint-Gervais, il avait l’avantage de bien connaitre notre territoire et tous les atouts de notre station, autant en hiver qu’en été.

Ce départ vient s’ajouter à l’histoire si mouvementée de l’office de Tourisme des Contamines depuis 2014. A ce moment-là, Michel Buisson occupait le poste depuis qu’il avait été recruté par les socio professionnels membres de l’association qui gérait alors le tourisme contaminard. Mais sans juger de la qualité de son travail, sans se préoccuper de tout ce qu’il avait apporté à la station depuis son arrivée, le maire et son équipe ont tout mis en œuvre pour qu’il quitte son poste : il n’avait qu’un seul défaut, il avait travaillé avec les élus en place avant 2014, et lors de la campagne électorale d’Etienne Jacquet l’avait placé comme bouc émissaire. A l’automne 2015, Michel Buisson est parti vers une autre vallée, et en décembre 2015, il a été remplacé par Christophe Gernigon en provenance de Méribel, choisi et imposé par le maire. Celui-ci expliquait avoir tout compris au tourisme en un seul entretien avec le nouveau directeur, alors c’était la fête ! Par la suite, tout semblait aller pour le mieux, L’EPIC dépensait sans compter, des grands projets était annoncés, un avenir radieux était promis pour les Contamines,.... jusqu’au 20 juin 2017. Ce jour-là, en plein conseil municipal, le maire annonçait « On a un problème avec l’EPIC ». Quelques jours plus tard nous apprenions la mise à pied du directeur. Une punition dont on ignore le motif réel mais qui s’est étalée sur la durée exceptionnelle de 10 mois.




En mai 2018, Pascal Favier reprenait la place. A nouveau, de grandes choses pour le tourisme aux Contamines étaient annoncées par le maire. Nouveau positionnement « La nature et l’environnement », un nouveau slogan « Une réserve naturelle d’émotion ». Et patatras, en octobre, à peine installé, ayant eu juste le temps de prendre connaissance des dossiers, Pascal Favier était remercié ou préférait partir travailler ailleurs. Nous ne savons pas quelle était la raison précise de ce départ. « …. Pour des raisons personnelles », bien sûr!!! . On peut entendre sans trop se tromper que ces directeurs ont effectué leur période d’essai de 6 mois et qu’ils ne souhaitaient en aucun cas poursuivre plus avant leur expérience contaminarde.




Julien Mure est donc resté lui aussi 6 mois à la direction de l’Office de Tourisme. Maintenant, sans doute, Annick Roger va reprendre l’intérim comme elle l’a fait dans le passé entre un départ et une arrivée. Finalement, si on ajoute toutes les durées de ses remplacements, c’est elle qui sera restée en place le plus longtemps. 

Cette valse des directeurs de l’office de tourisme, démontre un réel problème du fonctionnement de l’EPIC. Cette structure mise en place en 2015 est pilotée directement par Etienne Jacquet qui en est le président. Il détient tous les pouvoirs, puisque parmi les 12 membres du comité de direction, 7 sont des élus de son équipe municipale. Il reste donc 5 places pour les représentants des socio professionnels de la station. Et comme si cela ne suffisait pas, la vice-présidence de l’EPIC est depuis l’an dernier, occupée par Thierry Mirabaud, adjoint au maire. Pourtant les statuts initiaux de cette structure prévoyaient, « pour un souci de représentativité », que ce poste soit occupé par un des 5 représentants des socio professionnels. Ces statuts ont dû être modifiés pour laisser la place…




Quelles sont alors les raisons de ces nombreux changements ? Pourquoi tout est si compliqué à l’EPIC ? Il ne faut pas oublier non plus que dans les équipes, les changements sont aussi nombreux (animateurs, personnel d’accueil, communication, …). Mais la principale question est comment produire un travail de qualité dans ces conditions ? Dans le secteur du tourisme, il faut du temps pour installer des changements, travailler avec les acteurs locaux, communiquer sur l’image de la station, créer des événements, monter une équipe qui connait bien son cadre de travail ... Tous cela est impossible avec un tel turnover. 

Nous sommes dépités face à ce départ de Julien Mure. Alors qu’un travail important est nécessaire pour redonner ses lettres de noblesses aux Contamines, pour lui faire retrouver sa place parmi les stations qui comptent, nous voilà repartis pour une période de gestion des affaires courantes. Peut-être verrons-nous l’arrivée d’un nouveau directeur qui s’installera et découvrira son travail au sein de l’EPIC sous la houlette de cette équipe municipale qui lui imposera ses choix. Probablement, lui aussi quittera son poste rapidement…

Lors de ce conseil municipal, 2 délibérations ont été votées au sujet de l’EPIC. Chacune vient détériorer la situation déjà si compliquée de l’office de tourisme. 

La personne responsable de la cellule de communication de l’office de tourisme quitte son poste. Dans une situation normale, compte tenu de l’importance de la communication dans le milieu du tourisme surtout quand la structure doit fonctionner sans directeur, un remplacement poste pour poste aurait été logique. Et bien non. Ce rôle va revenir à la chargée de communication de la mairie qui va partager son temps entre la communication de la mairie et celle de l’office de tourisme. (40% pour la commune, 60% pour l’EPIC). Comment assurer une action efficace dans ces conditions ? 




Nous avons demandé si cela est temporaire en attendant un recrutement à l’EPIC. Notre question semble avoir étonné le maire qui a confirmé que cette configuration était définitive. Pour lui il n’y a aucun problème que la communication d’une station touristique soit assurée à 60% d’un temps de travail. Que la mairie d’une commune de 1200 habitants doive s’assurer les services d’une chargée de communication ne le perturbe pas davantage. On se doutait bien que dans une petite commune une chargée de communication ne devait pas remplir un temps plein en travail de communication : un cabinet du maire est tout à fait déplacé dans ce cas de figure…. Décidément, nous ne verrons jamais les choses de la même manière. 

Nous voilà donc face à un mélange des genres bien curieux. Une employée de la mairie, qui reçoit ses directives du premier magistrat, est donc chargée de la communication de l’office de tourisme. Au moins comme cela, les choses sont claires, le maire pourra utiliser l’office de tourisme pour mettre en valeur son action et étendre sa propagande. 




Et cela a déjà commencé. Dès qu’on arrive sur le site internet de l’office de tourisme, l’information principale qu’on apprend est que la piste ski-roue est inaugurée ce samedi 29 juin. Pour les personnes qui cherchent une destination pour leurs vacances d’été ou qui veulent en savoir plus sur les Contamines, est-ce vraiment l’information principale à leur donner ? Ne devrait-on pas plutôt annoncer en premier que la saison d’été est lancée, que les activités sont ouvertes, que la station est prête à accueillir les visiteurs ou que les Contamines et ses sommets sont un havre de fraîcheur en ces temps de chaleurs suffocantes sur toute la France ? Peut-on croire que l’inauguration de la piste-roue avec la présence de nombreux officiels locaux va être un élément déclencheur pour réserver un séjour aux Contamines ? Le rôle de l’office du tourisme est de vendre cette nouvelle activité, et d’informer sur son fonctionnement (horaires, tarifs, prestations…), pas de communiquer sur un événement officiel.





La seconde délibération au sujet de l’EPIC est presque risible. La convention entre la commune et l’EPIC va être modifiée pour spécifier que dorénavant l’EPIC sera en charge du lac de pêche du Pontet et de location de vélos électriques. L’office de Tourisme n’a plus de directeur, il avance comme un bateau à la dérive, et maintenant il va devoir gérer les concours de pêches et par conséquent l’approvisionnement en truites. Quant aux vélos électriques, nous avons tâché d’en savoir plus. La réponse du maire a été incompréhensible. « Ce ne sera pas de la location de vélos », « c’est pour le personnel de la commune mais aussi pour les touristes », … Après qu’il nous ait expliqué qu’il y aura une convention avec l’UCPA, nous avons demandé si ces 10 vélos seront à la disposition des personnes en vacances à l’UCPA, il nous a répondu, « Non il y a aura des bornes sur la place et les personnes pourront se servir ». « Qui va se charger de l’entretien ? » avons-nous cherché à savoir. « C’est l’entreprise qui installe ces bornes ». Comprenne qui pourra. En tous cas, dans toutes les informations données sur l’office de tourisme (site internet, brochure, …) ces vélos ne sont mentionnés nulle part.




Franchement, dans la grave situation qu’il traverse, l’office de tourisme n’a-t-il rien de mieux à faire que de s’occuper de poissons et de vélos ? Finalement, on comprend pourquoi Julien Mure a préféré partir travailler ailleurs….


Rendez-vous le 15 juillet pour de nouvelles infos.

Lydie Roch-Dupland et David Mermoud


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